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Sujet: Même pas honte.. Quoi que! (ft Andrew) Mer 29 Juil - 14:51
Même pas honte.. Quoi que!
Alors qu'elle s'aventurait une nouvelle fois dans cet enclos, Bailey avait les jambes qui tremblaient. Son corps tout entier ne lui appartenait plus et elle ne pouvait le controler. Elle qui avait voulu visiter l'enclos des Tricératops s'était trompée et avait fini par entrer dans celui du Tyranosaure. Manque de bol. Ouais c'était tout elle çà. Son coeur battait de plus en plus fort alors qu'autour d'elle pas un bruit ne fusait. C'était pas normal, quelque chose clochait. Toutes les portes étaient vérouillée et le talkie dans lequel elle s'évertuait à hurlait qu'on vienne lui ouvrir n'avait pas l'air de délivrer son message. Si en plus les appareils étaient contre elle, elle ne s'en sortirait pas. Elle déglutit avant de finalement s'avancer un peu plus dans la jungle pour essayer de trouver une cachette. Quitte à être ici, autant rester en vie. Alors qu'elle avançait doucement, elle sentit tout à coup un souffle chaud allant de sa nuque jusqu'à ses pieds. La bête qui en était l'origine devait être pas mal grande pour qu'elle le sente comme çà. Elle n'osait plus bouger, elle se doutait que dans les minutes qui suivaient, elle devrait courir du mieux qu'elle pouvait afin de se trouver une bonne cachette, si bien sûr elle avait une chance de survivre. Les Tyranosaures ne sont pas connus pour leur gentillesse, ils ne la laisseraient pas vivre. Alors qu'elle se mit à courir, elle sentit le sol trembler, signe que son prédateur avait fait de même. Elle pénétra dans l'immense jungle et apperçu une immense souche un peu plus loin. Voilà une bonne cachette. Elle s'y faufila et retint sa respiration pour cacher son angoisse. Elle allait y rester elle le savait. Un petit papillon vint se poser juste sur son genoux, et alors qu'elle le fixa, elle vit ses ailes s'illuminer et clignoter d'un rouge éclatant, et une cloche sonner à répétition pour donner l'alerte. Etrange. Elle restait un instant à fixer ce papillon avant de finalement essayer de l'attraper pour le faire s'arrêter.
Mais ce n'était en rien ce papillon qu'elle avait eu, mais son réveil. Et oui, elle avait rêvé une fois de plus, et pour le coup, elle était assez chamboulée par ce cauchemar. Cela faisait bien longtemps qu'elle ne se voyait plus en si mauvaise posture dans ses rêves. Ça ne lui avait pas manqué en tout cas. La demoiselle regarda autour d'elle, le matin déjà. Elle avait eu une longue nuit, elle avait fait le service du soir au restaurant et était rentrée assez tard. Sa nuit agitée n'avait rien arrangé à son état. Elle aurait voulu se recoucher mais aujourd'hui était son jour de repos, et elle avait prévu de se faire une petite balade dans le parc. Il fallait qu'elle en profite.
Elle s'activa sous la douche, et avala un bon petit déjeuné, avant de finalement sortir. Il faisait beau, il faisait chaud. Elle pouvait choisir une tenue légère qui ne la soulerait pas à la fin de sa journée. Elle avait opté pour une petite jupe rouge à carreaux qui arrivait à la mi-cuisse, avec un tee-shirt noir avec écrit 'i love me' en grosses lettres blanches, ainsi que des bottines noires plates. Ouais la détente c'était la rock attitude pour Bailey. Confortable, classe et tellement cool. Elle s'arrêta un instant au café et demanda à sa collègue un grand capuccino dans un gobelet pour qu'elle puisse le trimbaler partout où elle allait sans risquer de le renverser. Car c'était connu désormais, Bailey n'est pas très douée.
Elle entama son parcours par les enclos des bébés, là, les enfants pouvaient monter sur le dos des bébés Tricératops afin de faire quelques balades. Elle les enviait tellement. Elle les adorait mais les grands n'étaient pas aussi dociles que les petits. Alors qu'elle se pencha légèrement au dessus de la barrière pour pouvoir en caresser un, sa jupe accrocha un clou qui dépassait relativement beaucoup du rondin de bois. En quelques secondes elle avait compris, au bruit qu'avait fait le tissus lorsqu'elle s'était écartée, au regard que lui adressaient les gens autour d'elle. Certains se moquaient, d'autres avait un peu de la peine pour elle, et certains encore ne se privait pas de regarder. Sa jupe avait une énorme déchirure qui avait révélé au parc entier, ses sous-vêtements. Heureusement pour elle, elle avait mis une jolie culotte un peu en dentelles rouges et non pas un vieux boxer qu'elle prenait en général pour dormir. Elle ne savait plus vraiment où se mettre pour cacher sa honte. Elle en rit un peu avant de se décider à partir en courant dans les toilettes. Les premiers qu'elle avait vus d'ailleurs.
Elle poussa la porte et vint se regarder directement dans le miroir. En plein sur le devant, et en diagonal en plus, pas moyen de cacher quoi que ce soit. Et elle n'avait pas emporté la moindre petite veste pour pouvoir nouer autour de sa taille.
« C'est bien ma veine çà. Bailey Bailey Bailey.... Y a que toi pour faire des trucs pareils. Et la journée ne fait que commencer. »
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Sujet: Re: Même pas honte.. Quoi que! (ft Andrew) Mer 29 Juil - 20:35
Même pas honte.. Quoi que!
Bailey & Andrew-James
Andrew-James ne sait plus ce que peut signifier un rêve. Il se souvient juste que les rêves ce sont les contraires des cauchemars. Un moment de la nuit où le cerveau peut s'évader n'importe où et faire vivre des situations dès plus agréables, à tel point que lorsque l'on se réveille, on ne souhaite pas qu'il puisse prendre fin. Barbara aimerait tant ressentir de nouveau cette sensation. Se réveiller en douceur, être sur son petit nuage. Malheureusement pour lui, il n'avait que des cauchemars en tête. Chaque nuit détenait le même rituel. Il avait peur de s'endormir et remuait dans son lit. Parfois, le sommeil vint rapidement et parfois il mettait du temps, ne lui laissant que deux-trois heures au minimum, enfin lorsqu'il n'avait pas ces fichus cauchemars. Andrew-James se remémorait sa mission en Irak, les bombardements, les coups mitraillettes, le corps de civils, qu'ils soient des pères de famille, des mères, des grands-parents et surtout des enfants. Devoir affronter la vision d'un cadavre d'enfant était la pire chose à concevoir, lui qui était papa d'une petite fille de six ans. Il avait pourtant dû vivre avec, une balle perdue était vite arrivée dans ce chaos qu'est la guerre. Il lui arrivait de revoir ces visages l'un après l'autre qui le fixait au sol tout en lui faisant le reproche de ne pas avoir pu sauver. Quand ce n'était pas ce genre d'hallucination, Andrew passait ses nuits à ressentir son emprisonnement parmi les terroristes. Il y avait cru y passer, qu'il n'allait jamais tenir. On l'avait torturé physiquement et psychologiquement, le père de famille y avait passé des journées dans le noir complet sans pouvoir bouger, avoir une intégrité hygiénique et sans pratiquement boire ni manger. Barbie avait survécu jusqu'à l'arrivée de son armée. Là encore il avait entendu des bombardements, des mitraillettes et autres armes de combats, puis une voix...sa langue, l'américain avec un véritable accent américain et non des irakiens qui tentaient de dialoguer avec lui. Cependant, son cauchemar n'allait jamais au bout de cette délivrance. Le jeune homme se réveillait toujours en sursaut au moment où son bourreau allait le torturer pour la énième fois ou encore lorsqu'il cru mourir de désespoir. C'est donc en sursaut qu'il s'était réveillé ce matin, ses draps étaient humides, il avait transpiré et s'était débattu. Andrew-James se leva d'un bon tout en passant l'une de ses mains dans ses cheveux et en se dirigea dans la salle de bain où il prit une douche froide. L'ancien militaire était encore perturbé, il fallait qu'il se change les idées. Après s'être préparé, Barbara se vêtit d'une tenue propre au jogging, il se fit une ou deux biscottes avant d'attraper une bouteille d'eau fraîche et de s'empresser d'aller courir. Andy avait besoin de se dépenser et cela se traduisait toujours pas son footing et autres sports. Pendant sa course quotidienne, le jeune homme tenta de songer à un événement « joyeux ». Il songea à la naissance de sa fille, sa petite Carly. Cet événement le fit sourire, il faudrait qu'il tente de la retrouver dans le parc aujourd'hui ne serait-ce que pour l'apercevoir. Elle lui manquait énormément depuis que son ex-femme avait obtenu sa garde. Au bout d'une bonne heure de course, Andrew-James se retrouva au centre du parc. Il se mit à marcher, boire pratiquement toute sa bouteille d'eau et fit des étirements. Il pouvait commencer sa journée convenablement, il était à présent détendu. Voyant qu'il n'était pas très loin des toilettes, le père de famille décida d'aller y remplir sa bouteille, il avait encore soif et il avait surtout chaud. Il pénétra dans les toilettes réservés aux hommes quand il tomba soudainement nez à nez avec une jeune et jolie femme en petite tenue, enfin du moins en petite culotte. Sur le moment, Andrew-James fut surpris et fit échapper sa bouteille d'eau au sol. Comme la plupart des hommes, ses yeux ne purent s'empêcher de dériver sur sa culotte avant de finalement racler sa gorge pour indiquer sa présence bien qu'elle devait l'avoir aperçu dans le miroir et avec sa bouteille au sol. De plus, il était en train de se demander s'il était bien dans les toilettes des hommes :
« Il me semble que ce sont les toilettes des hommes ici mademoiselle, bien que je pense que ce genre de vue panoramique pourrait permettre à la gente masculine de faire de ce lieu une véritable attraction. » Si Andrew-James était naturellement froid avec les personnes autour de lui, il devait admettre que cette situation était dès plus embarrassantes et des plus amusantes. Ce pourquoi, il ne pu s'empêcher de faire une remarque à ce sujet.
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Bailey Rickson
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Sujet: Re: Même pas honte.. Quoi que! (ft Andrew) Jeu 30 Juil - 17:46
Même pas honte.. Quoi que!
Bailey avait été tellement concentrée dans la contemplation de sa jupe, et de son sous-vêtement par la même occasion, qu'elle n'avait pas remarqué le jeune homme qui venait de pénétrer dans les toilettes, mais elle entendit un bruit claquant qui la fit sursauter. Lorsqu'elle leva enfin les yeux, elle apperçut un gobelet jonchant le sol, déversant son liquide comme une marrée élcatée. Elle avait du pas mal surprendre ce monsieur pour qu'il en jette son verre mais elle le comprenait, c'était pas tous les jours qu'on pouvait assister à une scène pareille. Une demoiselle en petite tenue, en plein extérieur et en pleine journée... Et elle n'était même pas bourrée. N'imaginons pas ce que ça donnerait sinon.
Il se racla la gorge, et Bailey savait que la situation devait être plus qu'embarassante pour lui, même si elle voyait bien que ses yeux dérivaient pas mal sur le bas de son corps. De toute façon, qui ne l'aurait pas fait. Mais elle se posa une question, que diable faisait-il ici? Il s'agissait des toilettes pour dames, un homme de cet âge saurait faire la différence.
« Il me semble que ce sont les toilettes des hommes ici mademoiselle, bien que je pense que ce genre de vue panoramique pourrait permettre à la gente masculine de faire de ce lieu une véritable attraction. »
« Oh, la vue... Oui, enfin... c'est une histoire marrante vous allez voir, j'étais juste.... Pardon? »
Elle se souvint de sa phrase. Toilettes des hommes. Alors ce monsieur avait l'esprit tout à fait normal lorsqu'il était rentré dans cette pièce, mais ce n'était pas son cas. Elle s'était précipitée dans les premiers qu'elle avait trouvés afin de se cacher le plus vite possible mais elle n'avait pas fait attention de prendre la bonne porte. Mais bon, ça ne la choquait pas, c'était typiquement elle çà. Elle en rit un instant, un rire où l'on pouvait sentir sa gêne mais un rire sincère. Car Bailey se moquait beaucoup d'elle, elle se disait que comme çà, elle se sentirait moins honteuse.
« Je suis désolée, je n'ai pas fait attention.... Mais je pense que cette dissection de sexe dans les toilettes ne devrait pas exister, après tout, on est tous égaux non? Pourquoi obliger les gens à prendre telle ou telle porte? »
Elle se pinça les lèvres et ravala sa langue. Comme à chaque fois qu'elle était nerveuse elle sortait tout un tas d'hynepsies improbables sans savoir vraiment pourquoi et ce qu'elle voulait dire. Elle savait qu'au fond de lui, il devait bien rire de la situation comme tous les autres. Mais bon, au moins, il n'y avait que lui de présent dans cette pièce.
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Sujet: Re: Même pas honte.. Quoi que! (ft Andrew) Ven 31 Juil - 11:49
Même pas honte.. Quoi que!
Bailey & Andrew-James
Andrew-James avait été surpris par cette situation. Ce n'était pas tous les jours que le jeune homme se retrouvait avec une fille en petite tenue ou du moins, elles étaient volontaires et dans un endroit intimiste et là le contexte était tout autre. De plus, le second de la sécurité venait de passer d'une humeur plutôt sombre à de la stupeur et un soupçon d'amusement. S'il s'amusa à lui faire une remarque, il avait essayé de lui faire comprendre en douceur qu'elle n'était pas au bon endroit pour se changer, enfin, il fallait qu'elle ait un rechange pour ça et Barbara ne vit aucun sac à porter de main. La rouquine s'empressa de prendre la parole. Elle semblait être un vrai moulin à parole puisqu'elle souhaitait lui raconter sa mésaventure. Barbie était néanmoins intrigué pour mieux comprendre le résultat final. Il croisa instinctivement les bras pour l'écouter tout en l'observant avec un regard plutôt sérieux. Andy n'était pas le genre de personne à rire et sourire facilement, il était plutôt une vraie porte de prison. D'ailleurs, l'agent de sécurité qui sommeillait en lui était sérieux lorsqu'il avait évoqué l'idée que cet incident pouvait créer un désordre public et en ce moment ils n'avaient pas besoin de ça. Bon, Barbie exagérait, mais quand même, sait-on jamais. Alors qu'il s'attendait à obtenir le fin mot de l'histoire, Bailey semblait comprendre sa première information. Non, elle n'était pas dans les bons toilettes et heureusement qu'il n'y avait personne. Cette dernière s'excusa puis elle reprit la parole aussi pipelette qu'avant pour débattre sur les distinctions qu'il y avait dans les toilettes publiques. Andrew-James la dévisagea tout en gardant ses bras croisés. Elle était sérieuse ? Cela en avait tout l'air, mais en l'observant bien, il pouvait se douter qu'elle devenait nerveuse pour débiter autant de paroles pour se justifier comme une enfant qui venait de se faire prendre en plein vol de bonbons. Barbara voyait tous les jours des personnes nerveuses avec les jeunes du parc qui n'arrêtaient pas de faire des conneries puis lorsqu'ils étaient pris la main dans le sac, ils étaient dans ce même état. Andrew reprit à son tour la parole pour débattre avec elle de cette histoire de toilettes.
« Peut-être pour éviter les malentendus de ce genre. » Un silence et il reprit : « Il suffit qu'un pervers sexuel ou un pédophile pénètre dans un lieu mixte et qu'il se laisse aller à de sombre pulsions pour que cela puisse dégénérer. Bien sûr, ce n'est que la plus sombre des idées, mais je suppose aussi les hommes et les femmes ont chacun leurs propres pudeurs, leurs propres attentes. » Dit-il en allant ouvrir une porte des toilettes pour laisser apercevoir un urinoir. Les hommes et les femmes n'ont pas la même manière d'aller aux toilettes ou encore les mêmes problèmes comme ce qu'ont les femmes tous les mois et sans oublier le sexe étant tabou dans la société. Pleins de raisons pour disserter sur le sujet. Andrew se sentait stupide d'avoir osé répondre à ce genre de débat. L'ancien militaire baissa son regard, non pas pour mater de nouveau la jolie rouquine, mais pour s'apercevoir que sa bouteille d'eau était tombée non loin de Bailey. Ce n'était rien de bien grave, mais il voyait déjà l'embarras arrivé s'il devait se baisser pour la récupérer pile à ce moment-là. C'est pourquoi, il bredouilla :
« ….Je peux récupérer ma bouteille d'eau ?.... »
Question stupide, bien sûr que oui, il pouvait la récupérer, elle ne lui dirait pas non. La question était de savoir s'il pouvait s'approcher et la ramasser ou si c'était Bailey qui le ferait puisqu'elle était pratiquement à ses pieds. Cependant, si la jeune femme se baissait, il aurait encore une belle vue chose qu'il ne souhaitait pas même si elle était bien foutue. Heureusement que personne n'entrait à l'intérieur sinon ils risquaient de s'imaginer des trucs. Il décroisa ses bras et la regarda dans les yeux.
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Bailey Rickson
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Sujet: Re: Même pas honte.. Quoi que! (ft Andrew) Dim 2 Aoû - 16:50
Même pas honte.. Quoi que!
Bailey savait que le mixage des sexes était un sujet facile à débattre, et elle n'avait pas espéré que ce serait le cas avec cette phrase mais c'était pour elle un moyen de relacher sa pression, de se sentir moins bête. Au final, peut-être pensa-t-elle qu'elle aurait du réfléchir avant de parler vu la tête que faisait le jeune homme en face d'elle. Il avait du la prendre pour une demeurrée, déjà que la situation dans laquelle elle se trouvait n'était pas pour la mettre en valeur, voilà qu'elle en rajoutait une couche sur son état d'esprit. On allait la prendre pour une folle sans doute.
« Peut-être pour éviter les malentendus de ce genre. » Un silence et il reprit : « Il suffit qu'un pervers sexuel ou un pédophile pénètre dans un lieu mixte et qu'il se laisse aller à de sombre pulsions pour que cela puisse dégénérer. Bien sûr, ce n'est que la plus sombre des idées, mais je suppose aussi les hommes et les femmes ont chacun leurs propres pudeurs, leurs propres attentes. »
En y repensant, il n'avait pas tort. Bailey détestait voir dans les infos tous ces enfants victimes de viol ou d'enlèvements, ça lui fendait littéralement le coeur. Elle qui les adorait ne pouvait imaginer la douleur des parents dans l'attente de revoir leurs bouts de choux, ou celle des enfants, qui ne peuvent rien dire sur la violence que leur font subir leurs parents. Alors qu'elle imaginait ce que donnerait des toilettes mixtes, elle eu mal au coeur. Non ce n'était pas du tout une bonne idée, pour le coup, elle avait été bête de pouvoir penser à un truc pareil.
« ….Je peux récupérer ma bouteille d'eau ?.... »
Elle était dans les nuages, comme bien souvent d'ailleurs, elle partait un peu trop loin dans sa tête. Ça arrivait beaucoup quand elle ne savait pas quoi dire, elle cherchait au fond d'elle une phrase qu'elle pourrait sortir pour éviter d'avoir une nouvelle fois l'air d'une cruche. Sa bouteille? Elle l'avait oubliée celle là, elle chercha sur le sol avant de finalement la retrouver. Elle avait complètement zappé que celle ci était arrivée à ses pieds, roulant sur le sol comme un ballon sans trajectoire. Mais il avait fallu que ce soit juste en dessous d'elle, et que bien sûr, elle soit en petite culotte. C'est sûr que le jeune homme devait être en dilemme au fond de lui même, à savoir si oui ou non il devait la récupérer. Il se rapprocherait donc d'elle et se pencherait juste devant son corps. Oui, un peu gênant tout çà. Mais elle ne pouvait lui refuser de la récupérer évidemment. Elle sentait que ses joues devenaient de plus en plus chaudes, elle ne voulait pas imaginer leur couleur, ce qui l’accentuerait certainement. Bailey avait toujours été très timide, et très sensible au regard que pouvaient porter les gens qui l'entouraient.
« Oh... Euh... Si ça peut vous éviter un malaise seulement.... »
Elle se mit à rire, seule, et nerveusement. Oui, elle était vraiment stressée là, elle commençait à faire n'importe quoi. Elle finit par arrêter avant de finalement se reculer de la bouteille pour laisser le champs libre à son propriétaire de venir la récupérer.
« Non je rigole. ^^ Hum.... Allez-y... »
Après tout, elle était déjà dans un terrain ennemi, elle ne pouvait pas non plus imposer sa loi et décider pour les autres. Elle se racla la gorge et essaya de tirer un peu plus sur le tissu de son T-shirt pour essayer de cacher son corps. Mais bon, il l'avait déjà vue, et un bon nombre de gens dans le parc aussi.
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Sujet: Re: Même pas honte.. Quoi que! (ft Andrew) Dim 13 Sep - 21:45
Même pas honte.. Quoi que!
Bailey & Andrew-James
En évoquant certains risques qui pouvaient se passer dans les toilettes publics, la jolie rouquine semblait se perdre dans ses pensées. Andrew était embarrassé dans la mesure où il n'avait pas voulu lancer de débats là dessus et qu'il se trouvait dans une situation délicate. Il s'agissait d'un très beau quiproquo et situation dès plus gênante. D'ailleurs, à croire que le destin s'amusait à leur jouer des tours puisque Andrew souhaitait récupérer sa bouteille d'eau qui se trouvait sous la jeune femme. S'il était d'un naturel séducteur, il ne perdrait pas de temps et récupérerait sa bouteille sans se soucier du moindre malaise. Malheureusement pour lui, il ne l'était pas et se souciait de la belle inconnue en face de lui. C'est pour cette raison qu'il prit la peine de demander s'il pouvait récupérer sa fameuse bouteille. Cette dernière rétorqua positivement tout en lui faisant une remarque rigolote. Sur le moment, Barbie leva un sourcil, il était surpris. Ce n'était pas un homme qui rit facilement des blagues, il est plutôt du genre coincé et froid. La voyant rire et continuer à être dans un embarras énorme, Andrew fini par lui adresser un léger sourire et il prit sur lui pour dégager ce côté froid et associable de sa personnalité :
« Je crois bien que ça peut m'aider en effet. »
Ce n'était pas grand chose venant de sa part, mais c'était quand même un début. Il regarda Bailey se mettre sur le côté pour qu'il puisse récupérer l'objet tant convoité par mister Barbara. Il se pencha alors et la récupéra avant de la poser sur le lavabo. Le jeune homme observa une nouvelle fois la jolie rouquine, mais cette fois à travers la glace. Si sa mission de récupération de bouteille d'eau avait réussi, il restait néanmoins un problème de taille : celui de Bailey. Ne souhaitant pas la laisser comme ça en partant comme un voleur, Andrew décida d'enlever sa veste de jogging. Il la lui tendit ensuite pour qu'elle puisse la mettre autour de sa taille.
« Ce n'est pas grand chose et ça ne vaut pas un pantalon, mais je pense que ça peut vous être utile. »
Andrew se lava ensuite les mains et rinça sa bouteille d'eau afin d'enlever tous les microbes qu'il y avait pu avoir au contact du sol. Voyant que la jeune femme était toujours présente à ses côtés et se sentant l'âme d'un Samaritain, il décida de proposer de la raccompagner. Il s'essuya les mains avec du papier mit à disposition et reprit la parole :
« Je peux vous escorter jusqu'à votre chambre, vous ne serez pas importuné le long du trajet. »
C'est sur qu'avec l'attitude glaciale de Andrew-James, il y avait peu de chance pour que l'on les approche. Bailey aurait son propre bulldog à deux jambes. En attendant si elle était partante pour sa proposition, Andrew bu quelques gorgées d'eau. Il espérait qu'il n'y ait pas d'autres quiproquo entre eux comme le fait d'aller à sa chambre.
crackle bones
Spoiler:
Je suis sincèrement désolée pour le temps d'attente de la réponse, maintenant ça devrait aller plus vite comme je suis de nouveau disponible , je te remercie très sincèrement pour ta patience et je comprendrais si jamais tu ne voulais plus rp avec moi :S , encore désolée