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Comment ça, "en panne"?

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MessageSujet: Comment ça, "en panne"? Comment ça, "en panne"?  Icon_minitimeMer 15 Juil - 0:19

Il est assez rare que je prenne part aux attractions du parc, notamment parce que j’ai l’impression que ce n’est pas juste vis-à-vis des autres visiteurs. Je ne paye pas l’entrée, travaillant sur place, mais je ne sais pas…J’ai l’impression que les autres le savent et me jugent quand je le fais. Alors je tente de ne pas trop le faire, ce n’est pas comme si, de toute façon, c’était vraiment quelque chose qui me tentait des masses à dire vrai. Je trouvais le concept du parc fascinant et leurs techniques extrêmement impressionnantes ; cependant les dinosaures, moins je m’en approchais, mieux je me portais. Je n’en n’avais pas peur à proprement parlé, je savais que les plus dangereux étaient retenus dans des enclos auxquels le public ne pouvait pas accéder ; mais le fait d’avoir ces êtres vivants, normalement éteints, pesant pour la plupart plusieurs centaines de kilos, mesurait plusieurs mètres (que ce soit de haut ou de longueur) et, par conséquent, étaient dangereux si on se trouvait au mauvais endroit, au mauvais moment. Donc non, je n’ai pas peur des dinosaures, mais je ne suis pas rassuré face à eux. En gros, tout ce qui est plus gros que moi m’intimide et je ne dis que je ferais mieux d’en garder mes distances.

Et là vous me demandez pourquoi, si je n’aime pas plus que cela la compagnie des dinos, je me retrouve dans la file d’attente pour les Gyrosphères ? Eh bien pour deux raisons : premièrement, Felix m’en avait parlé et m’avait dit que c’était quelque chose à faire au moins une fois. Ensuite, je voulais quand même essayer de vaincre ma nervosité autour des herbivores au moins…Alors c’est vrai que j’aurais pu commencer par les enclos, là où je n’étais pas aussi près d’eux, au lieu de monter dans un véhicule qui me permettais de naviguer entre les différentes espèces du coin. Seulement, j’ai toujours été du genre tout ou rien. Si je voulais faire en sorte de ne plus être mal à l’aise près de dinosaures, je devais y aller franco et pas tourner autour du pot mille ans en repoussant l’inévitable échéance. Gyrosphère c’était, donc.

Attendant sagement mon tour, j’observais les véhicules de loin et je sentis, doucement mais sûrement, la nervosité monter en moi. Bon sang, mais qu’est-ce que je fichais là, moi ? Sérieusement ? Bon allez, Nath, on se reprend et tu y vas ! Ca ne pouvait pas être si terrible…Arrivant à moi, on me fit attendre qu’une autre personne seule n’arrive et je pensais attendre de longues minutes, mais en réalité, je n’ai attendu que cinq minutes de plus, un autre jeune homme finit par arriver, seul, et on nous installa dans la gyrosphère. Je préférais laisser les commandes à mon compagnon de voyage pour le coup. J’étais si nerveux, je risquais plus de nous envoyer dans un arbre qu’autre chose. Je n’arrivais pas à calmer les tressautements de ma jambe droite, celle près de la parois de la sphère, et ça commençait à devenir compliqué…

Puis, graduellement, alors que la gyrosphère parcourait les grandes étendues d’herbes, je me calmai. Les dinosaures ne nous remarquaient même pas…Bon, ce n’était pas des plus rassurants dit comme ça, mais tout de même. On ralenti près de je ne sais quel dinosaure, puis vinrent à un arrêt. Pendant la première minute, je cru que mon binôme inconnu voulait observer ce dino, mais quand je le vis trifouiller les contrôles de manière un peu insistante, je finis pas lui lancer un regard interrogatif. Mais pas besoin qu’il me réponde, la voix robotique du logicielle répondit à ma question muette.

"Votre Gyrosphère rencontre des difficultés techniques. Votre position et situation ont été communiqués aux autorités compétentes, veuillez attendre dans la sphère que les secours arrivent."

C’était une blague, n’est-ce pas ? Ils n’étaient pas, pour de vrai, bloquer dans une gyrosphère et entourés de dinosaures qui pourraient jouer avec la baballe s’ils le souhaitaient, bordel dîtes-moi que je rêve, ou cauchemarde, mais que ce n’est pas vrai…J’observais nerveusement tout autour de moi, essayant de voir une issue de secours, un véhicule de secours, n’importe quoi qui indiquerait que c’était en voie de se débloquer…Mais rien. Je finis par me renfoncer dans mon siège, un lourd soupir passant mes lèvres. Et ma jambe droite qui repartait de plus belle. Je ne sais pas combien de temps on devait rester là-dedans, mais j’espérais le moins longtemps possible…
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MessageSujet: Re: Comment ça, "en panne"? Comment ça, "en panne"?  Icon_minitimeMer 15 Juil - 11:11


Eliott était toujours en train de dormir lorsque la femme de ménage qui s’occupait de sa chambre arriva comme un ouragan dans sa suite. Elle était furieuse, elle n’arrêtait pas de jurer en espagnol ou en portugais, le jeune homme ne savait pas trop. Mais ce qu’il savait ce que cela faisait quelques jours qu’il était arrivé à Jurassic Wold et il n’avait pour ainsi dire très peu quitté sa suite. En même temps qui pouvait le blâmer ? –mis à part la femme de chambre ici présent- Il n’avait pas demandé à être ici. Il était puni. Vous allez me dire qu’il y avait pire comme punition, mais le jeune Foster aurait préféré aller passer du temps avec ses amis sur un yatch ou au bord d’une plage de sable blanc avec un cocktail dans la main que de se retrouver seul sur une île pleine de bestiole qui pourrait vous bouffer s’il n’y avait pas leur enclos. Bref, Eliott céda ne voulait pas énerver davantage l’employée de l’hôtel et sortit de son lit. Il demanda une dizaine de minutes de patience à la dame afin qu’il puisse se préparer. Elle se calma et soupira avant d’entreprendre le début de nettoyage de la suite. Vêtu d’un simple boxer, Foster se dirigea vers la salle de bain. Il referma la porte derrière lui et ôta le seul vêtement qui protégeait sa nudité. Il entra dans la douche italienne ultra moderne et luxueuse et entreprit le lavage de tout son corps. Les années de basket lui avaient sculpté un corps d’Apollon. Il avait des épaules et une carrure bien développées ainsi qu’un corps musclé. Toute personne normale ne pouvait que le trouver sexy. Cependant, le point positif, c’était qu’Eliott n’en avait pas vraiment conscience. Bien sûr, au lycée et à la fac, il savait qu’on le regardait parfois avec un peu trop d’insistance mais pour lui, il n’était pas plus beau qu’un autre. Il savait juste quand il pouvait ou devait user de ses charmes.

Une fois lavé et habillé, Eliott était sorti de la salle de bain et avait pris ses affaires : son portefeuille, son accès VIP, la carte du parc et son Iphone dernier cri histoire de laisser un message vocal à son père s’il se faisait manger par un raptor. Il avait demandé à la femme de ménage quelle attraction elle lui conseillait –étant donné que c’était elle qui le chassait de sa suite, c’était la moindre chose qu’elle puisse faire-. Elle lui avait conseillé les gyrosphères, il l’avait remerciée et avait pris le chemin du parc. Eliott en avait profité pour regarder en quoi consistait cette attraction. De ce qu’il avait compris de la brochure électronique qu’il avait consulté à l’aide de son téléphone portable, c’était une balade en boule transparente à côté des dinosaures herbivores. Pour une première, ça devrait aller. De plus, comme le nom l’indiquait, ces animaux ne mangeaient que de la verdure, il ne craignait donc pas grand-chose. Arrivé devant l’attraction, Foster se mit dans la queue pour VIP. Il ne lui fallut pas attendre longtemps pour que cela soit enfin son tour. Malheureusement, comme il était seul, il devait partager la gyrosphère avec un inconnu. Heureusement, cet inconnu n’était ni une vieille mégère ni un gosse excité qui criait partout. Eliott s’installa dans la gyrosphère à côté du jeune homme –qui devait avoir à peu près son âge- et attendit de voir s’il allait prendre directement les commandes. Mais celui-ci ne bougeât pas. Avec un début de sourire satisfait sur les lèvres, Eliott prit les commandes et l’aventure pouvait commencer. Les deux jeunes hommes dévalaient ainsi les grandes étendues d’herbe. Eliott était fasciné par les dinosaures, plus qu’il ne voulait bien l’admettre. Lorsqu’il passait près de l’un d’eux, il ne pouvait s’empêcher de les contempler. Ces espèces étaient normalement disparues depuis des millions d’années, mais elles se tenaient là, devant lui.

Eliott n’avait pas vraiment adressé la parole à son compagnon de voyage. Il n’avait même pas s’il parlait la même langue que lui. Cependant, le jeune Foster avait remarqué qu’il était très nerveux. Il gigotait et ne semblât absolument pas à l’aise. Eliott ne pouvait s’empêcher d’esquisser un sourire amusé lorsqu’il voyait le garçon s’agiter de nervosité. La gyrosphère ralentit d’un coup. Eliott se demanda ce qu’il se passait. La boule en verra finit par s’arrêter. Eliott lança un regard suspicieux à son binôme mais il n’avait pas l’air d’en savoir plus.

"Votre Gyrosphère rencontre des difficultés techniques. Votre position et situation ont été communiqués aux autorités compétentes, veuillez attendre dans la sphère que les secours arrivent."

Foster soupira. Bordel, pour une fois qu’il sortait de sa suite, il se retrouvait en panne, en pleine cambrousse avec un parfait inconnu nerveux comme une pile électrique et entouré de dinosaures géants qui pourraient les écraser d’un seul coup de patte. Pire, si l’un de ces dinos se prenait pour Messy et qu’il commencerait à shooter dans la gyrosphère comme dans un ballon de foot, ça serait le pompon ! Eliott s’énerva intérieurement et maudissait la femme de chambre qui l’avait envoyé ici. Il finit par poser son regard sur son binôme, qui avait l’air en pleine panique vu son visage qui était totalement décomposé. Eliott observa le jeune homme puis finit par éclater de rire. C’était plus nerveux qu’autre chose mais la tête de son compagnon de route n’aidait absolument pas à rester sérieux. Il se calma puis finit par reprendre son sérieux. Après quelques minutes de silence, Foster s’adressa à son binôme inconnu.

- Je crois que je peux arriver à ouvrir la porte, tu sais,  si tu dois vomir.

Bon ok comme première approche, on pouvait faire mieux mais bon, c’était Eliott quoi.
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MessageSujet: Re: Comment ça, "en panne"? Comment ça, "en panne"?  Icon_minitimeMer 15 Juil - 23:07

Durant ma petite crise de panique intérieure, je ne remarquai même pas que l’autre homme dans la sphère prenait son temps pour me détailler, moi et ma nervosité plus que visible. Soyons honnête, je n’ai jamais été connu pour avoir une poker face de dingue. J’ai, comme qui dirait, le cœur sur la main et le visage qui trahit la moindre émotion qui le traverse. Ce qui n’est pas très pratique quand vous tentez de cacher quelque chose à quelqu’un…A moins que le sujet ne soit pas abordé. Ah pour ça, je suis très doué pour mentir par omission. Autrement ? Ne rêvez pas, je ne pourrais pas mentir pour sauver ma peau. Heureusement que j’étais danseur et pas policier ou agent secret, sinon bonjour la sécurité du pays…Mais passons.

Si je ne remarquai pas son regard sur moi, j’entendis clairement son rire et mon tête se tourna vers lui d’un coup et je le fixai. Pour la première fois. J’évitais de fixer les gens, sauf quand j’étais sûr qu’ils ne pourraient pas me repérer. Car j’étais curieux, mais pas fou. Je sais à quel point les gens n’aiment pas qu’on les fixe sans raison. Je fronçai les sourcils, cherchant à comprendre ce qui pouvait bien le faire rire ainsi. En un regard, je tentais de lui faire parvenir sans parler qu’il ferait mieux d’arrêter s’il se moquait de moi, parce que je n’étais vraiment pas d’humeur à gérer des moqueries autrement qu’en l’envoyant sur les roses avec une acidité qui ne m’est pas commune. Comme il s’arrêta, j’eu un léger hochement de tête approbateur avant de tourner de nouveau ma tête vers l’extérieur de la gyrosphère. Ma jambe n’arrêtait toujours pas ses tressautements et ça devait commencer à être stressant pour mon binôme, mais je n’y pouvais rien. J’ai toujours eut ce petit côté hyperactif qui m’empêchait de rester stoïque plus de cinq minutes en règle générale, alors quand je suis stressé, je vous laisse imaginer…

Son commentaire me forçai à reporter mon attention sur lui et je tournai la tête, une expression confuse sur le visage le temps que mon cerveau n’imprime tout ce qu’il me disait, puis je lui lançai un regard noir (qui devait plus me faire ressembler à un chaton en colère qu’à un homme adulte de 24 ans qui voulait faire comprendre à un autre être humain qu’il n’était pas content, m’enfin).

"Je ne vais pas être malade, merci bien. Je ne suis juste pas rassuré d’être dans une pauvre boule de verre au milieu de dinosaures qui pourraient nous transformer en hachis Parmentier d’humain si l’envie leur prenait. Ou s’il ne nous voient pas. Alors s’il te plaît, ne penses même pas à ouvrir cette porte."

J’aurais bien rajouté un « ou alors », mais je ne vais pas me leurrer, je ne suis pas franchement menaçant de manière générale, alors quand ne plus je viens de prouver que je paniquais à moitié simplement parce que j’étais trop près de dinosaures…Herbivores en plus. Bonjour l’ambiance quoi.

"Bon sang, je n’aurais jamais dû écouter Felix…Il a de bonnes idées parfois, mais là je dois bien admettre que c’était une très, très mauvaise idée. Et en plus je vais devoir rusher pour…" une réalisation se fit dans mon esprit et je me redressai soudainement dans mon siège "Merde ! Le travail !"

Sans un mot de plus à l’égard de mon compagnon d’infortune, je me mis à farfouiller dans mon sac et en sorti mon téléphone portable. Il fallait que je prévienne le travail. Je ne sais pas combien de temps j’allais prendre avec cette histoire…S’en suivit une conversation maladroite avec Eden, dont mon binôme actuel n’avait que mon côté, malgré qu’Eden soit en train de me hurler dans l’oreille comme quoi j’étais vraiment idiot de tenter la moindre attraction dans l’après-midi. Je fis plusieurs grimaces allant de la douleur, à la désolation la plus pure. Je finis par raccrocher, un lourd soupir m’échappant et baissant dramatiquement la tête en avant, si j’avais eu une table, j’aurais probablement frappé, doucement, ma tête contre. Mais je n’en n’avais pas alors je ne me fis aucun mal. Pas encore, mais gaffeur comme je l’étais, ça n’était pas impossible…Me renfonçant dans mon siège, je tournai la tête vers compagnon d’infortune.

"Bon, puisqu’on semble être coincé ensemble pendant un moment, autant faire connaissance. Moi c’est Nathaniel. Nath si tu préfères."

Je lui tendis une main en signe de bonne foi.
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MessageSujet: Re: Comment ça, "en panne"? Comment ça, "en panne"?  Icon_minitimeJeu 16 Juil - 21:49

Eliott Foster était quand même un jeune homme qui attirait les situations et les personnes les plus improbables : le seul jour où il se faisait chasser de sa chambre d’hôtel par une femme de chambre, il se retrouvait coincé dans une grosse boule en verre au milieu de plein de dinosaures et pour couronner le tout, avec un parfait inconnu. Fichu karma en carton. Il était vraiment temps que la roue tourne, car après ses mésaventures au lycée et son expulsion de la fac, il pouvait au moins lui arriver un truc de bien non ? Genre gagner à la loterie –même si sa famille avec une vie déjà très confortable-, rencontrer l’amour de sa vie ou recevoir un bébé tricératops ou brachiosaure pour son anniversaire quoi. Que pour une fois il puisse baisser sa garde et effleurer le bonheur du bout des doigts. La vie en avait décidé autrement, il était assis à côté d’un mec assez chelou –bah ouais le gars il se prend pour PanPan le lapin dans Bambi à faire aller sa jambe de nervosité- et qui plus allait sans doute lui vomir dessus d’une minute à l’autre de stress. Le fait qu’Eliott eut taquiné le jeune inconnu sur le fait qu’il était prêt à ouvrir la porte au cas où son binôme de fortune était prêt à remettre ses intestins, provoqua chez lui une moue de mécontentement, enfin, c’est ce que le jeune Foster en déduit car l’inconnu n’avait pas un soupçon de méchanceté dans le visage. Eliott ne put s’empêcher d’esquisser un sourire suite à sa réponse. Il était mignon, en fait. Eliott posa son regard ténébreux afin d’analyser précisément les mimiques faciales de son interlocuteur et par la même occasion, de tenter de le mettre mal à l’aise. Il laissa un blanc afin d’augmenter la puissance de son regard puis finit par lui répondre en haussant les épaules.

-Ok, comme tu le sens, mais si je te vois avoir des spasmes, non seulement j’ouvre la porte mais je te pousse dehors. Il marqua une pause puis se mit à rire. La tête du jeune homme valait de l’or. Dommage qu’il n’avait pas de réseau, sinon direct, Eliott l’aurait posté sur snapchat. Non mais sérieusement, Foster prenait son pied, il adorait jouer avec ses victimes, un peu comme un chat avec une sourire. Le jeune inconnu semblait être une proie facile. Eliott pourrait jouer avec lui pendant toute la durée de la panne. Ce parc devenait vraiment intéressant, finalement. Le beau brun passa une main dans ses cheveux puis reporta son attention sur son compagnon. Il l’écouta parler d’un certain Felix. Encore une preuve de plus que c’était un mec chelou. Le mec venait presque de dire que son chat lui avait conseillé de venir dans les gyrosphères. Ok, il était mignon et tout, mais les psychos n’étaient absolument pas le délire d’Eliott. Ce dernier réfléchit vite fait à comment il pourrait s’en sortir au cas où le jeune homme péterait un câble. Il pourrait sortir de la grosse boule de verre et s’enfuir à dos de tricératops. Oui, cette idée –même si peu probable et réalisable- lui plaisait. Foster continuait d’observer le jeune adulte pendant que celui-ci faisait un monologue sur son travail puis finit par prendre son téléphone puis par appeler. Eliott fronça les sourcils, il était jaloux que lui avait du réseau et pas, il se promit de changer d’opérateur d’es qu’il rentrerait chez lui.

Après quelques minutes pendant lesquelles Eliott put entendre son compagnon de fortune se faire hurler dessus, lire sur son visage diverses émotions et pour finir baisser la tête, vaincu par son interlocuteur téléphonique, Nathaniel se présenta enfin. Le jeune Foster hésita à lui serrer la main puis finit pas le faire. Ils reçurent tous deux une décharge éléctrique. Eliott se mit à rire puis prit la parole avec un air faussement ténébreux.

- Enchanté… heu… Nath’. Je m’appelle Eliott. En tout cas, on peut dire que le courant passe déjà entre nous ! ajouta-t-il en faisant allusion à la décharge électrique qu’ils venaient de recevoir en se serrant la main. Bon ok, c’était nul, mais au moins cela détendait l’atmosphère, ou pas. Eliott passa une main dans ses cheveux puis continua avec un air amusé. Alors comme ça, tu es le genre de mec à parler aux chats… Felix ?

Cette après-midi s’annonçait amusante, Eliott en était sûr. Miaou.
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MessageSujet: Re: Comment ça, "en panne"? Comment ça, "en panne"?  Icon_minitimeSam 18 Juil - 22:19

    Être celui que les gens regardent, j’en avais l’habitude, avec mon travail. Cependant, la façon qu’avait cet inconnu de me scruter du regard me mettait mal à l’aise. J’avais l’habitude d’être vu, observé, même, mais pas disséquer du regard d’une telle façon. Pendant une longue minute, je restai sans bouger (hey, même ma jambe en avait arrêté ses tressautements), à attendre ce que l’autre allait dire ou faire. Il n’y avait pas grand-chose que je pouvais faire de toute façon vu où nous nous trouvions sans sortir de là. Or, sortir de là était la dernière chose que je souhaitais faire tant que les secours ne me l’indiquaient pas. Je restai donc immobile, jusqu’à ce que le temps ne semble reprendre son cours avec le haussement d’épaules du brun, avant que je n’ouvre des grands yeux face à son commentaire. Il n’oserait pas, tout de même ? J’eu un grand moment de doute sur son sérieux puis il se mit à rire, le saligaud. Je préférai reporter mon attention sur l’extérieur. Au moins s’il se moquait de moi je ne le verrais plus. Je l’entendrais toujours cependant, n’ayant pas pensé dans ma grande bêtise à amener mes écouteurs afin de vraiment éclipser ce type s’il me prenait trop la tête.

    Mais finalement, c’est moi qui devais commencer à lui taper sur le système avec mon comportement à la limite de l’hyperactivité. Je n’étais déjà pas du genre à être spécialement calme habituellement, toujours en activité H24, mais quand j’étais nerveux, c’était pire. Et si en plus je lui gratifiais les oreilles des hurlements d’Eden à l’autre bout du fil…bon sang, je m’étonnais qu’il n’ait pas déjà mis ses menaces à exécution et me jeter dehors afin d’être tranquille, pour être honnête. Mais je n’allais pas m’en plaindre ; cette situation n’était peut-être pas idéale, mais au moins on était un minimum protégé des dinosaures. Relativement, disons. Je finis par me présenter et le temps d’un instant, je crus qu’il allait commencer à m’ignorer. Non mais…Gars, tu ne te fous pas de la gueule de quelqu’un pour l’ignorer ensuite ! C’est…Contraire à tout règlement implicite et tacite que toute personne respecte sans même s’en rendre compte ! Finalement il m’a serré la main et j’eu un léger sursaut à la décharge que je me pris. C’était bizarre, et en fait, pas tant que ça.

    "Enchanté Eliott. Et c’est pas vraiment du courant. Enfin si. Enfin non. C’est de l’électricité statique. Je suppose que ça vient de la friction entre le verre de la gyrosphère sur l’herbe, générant une très légère charge électrique, conduite par la structure en métal du véhicule, se transmettant à nos vêtements et ultimement à notre peau. La charge ayant toujours la même polarité, quand on s’est serré la main elle a repoussée celle qui lui était identique, un peu comme les aimant quand tu mets pas le bon côté face à l’autre, et donc coup de jus. C’est vraiment idio–"

    Je me coupais dans mon explication (et bon sang, pourquoi je sortais ça maintenant, moi ? Je voulais l’assommer tout de suite ou quoi ?) quand il me posa une question sur…un chat ? Mon visage dut transmettre ma confusion, car il explicita d’un mot. Felix. Minute papillon, il croyait que Felix…était un chat ? Quand l’information arriva à mon cerveau, j’eu un rire, essayant de le contenir, mais finalement j’explosais de rire ; je venais de visualiser Felix avec des petites oreilles de chat et des papattes toutes mimi. Ca lui allait bien, mais je peux vous dire que ça surprend. Je finis par me calmer et repris la parole.

    "Non, les chats ça ne parle pas voyons ! Felix c’est un ami à moi, humain. Il m’a conseillé de faire un tour de Gyrosphère et je l’ai écouté, idiot que je suis. Alors que j’ai peur de me retrouver au milieu des dinosaures et de ne pas pouvoir en sortir. Mais je me suis dit qu’il fallait traiter le mal par le mal et me voilà ! Coincé dans une boule de verre à quelques mètre seulement des din–" je me stoppai de nouveau en voyant passer très près un quelconque herbivores du coin. Je me crispai, pour ne me détendre qu’une fois le dinosaure hors de vue "Avec toi." Gaffe, bonjour "Pas que tu ne sois pas de bonne compagnie, j’en sais rien en fait, ça fait même pas cinq minutes qu’on se connaît. Mais bon, on est de presque parfait inconnus l’un pour l’autre et on se retrouve là et…" je remarquai son visage et ferma ma bouche en un mouvement "Eeeeet je vais peut-être me la fermer. Ouaip, bonne idée…"

    Voilà ce qu’il se passait quand je me laissais emporter, je finissais par parler beaucoup, beaucoup trop…
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MessageSujet: Re: Comment ça, "en panne"? Comment ça, "en panne"?  Icon_minitime

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Comment ça, "en panne"?

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