Il était une fois, dans une petite ville d’Angleterre, une famille bien tranquille et... Non. Nous ne sommes surement pas dans un conte de fée. Tout commence à ma naissance. Eh oui, par ma naissance, original hein ? Sur ce point-là je ne peux pas me plaindre. J'entre dans une belle famille avec deux parents aimant et une sœur et un frère exceptionnels. Qui sera suivi d'une nouvelle petite sœur quelques années après. Enfant turbulente, pleine de vie et d'une maladresse que vous n'avez jamais connue. J'ai pu faire les 400 coups avec mes sœurs et mon frère. On s'est toujours extrêmement bien entendu et c'est bien grâce à eux que j'en suis là aujourd'hui. Notre famille ne roule pas sur l'or mais nous avons tout ce dont nous avons besoin. Nous n'avons jamais manqué de rien. Mes sœurs sont tout pour moi, elles sont exceptionnelles et m’accompagnent dans toutes les mauvaises passes. Vous ne pouvez pas imaginer notre complicité. C’est plus que ce que vous ne pourrez jamais imaginé. Même si je m’entends surement un peu mieux avec ma grande sœur. Malheureusement, troisième de ma famille, peu après ma sœur, mes parents n’ont jamais vraiment eu le temps de s’occuper de moi. Très vite, mon oncle m’a servis de babysitter et c’est ce qui nous a beaucoup rpproché.

Durant mon enfance, j'ai dû tester tous les sports possible et imaginable. J'aime les nouvelles choses et surtout les sensations fortes. Ce qui a toujours déplu à mes parents. Mais la notion d'interdit met souvent le feu aux poudres et cela m'a valu quelques disputes avec mes parents. Autre sujet de dispute, mes voyages. Je n’ai  jamais habité autre part que dans ma ville de naissance, du coup, bien évidemment, j’ai voulu explorer de nouvelle contré. Et plus je grandissais, plus j’allais loin et plus longtemps. Sauf que, lorsque je me prenais la tête avec mes parents, je ne m’enfermais pas dans ma chambre, je prenais mes économies, faisaient mon sac et je partais quelques temps autre part. Et lorsque je n’avais pas d’argent… Ce qui arrivait bien souvent, je partais et je déménageais mes affaires chez mon oncle pour plusieurs jours. Mais, bien encadré par mes parents, ma sœur aînée et mon grand frère, j'ai toujours bien suivis en cours. Malgré mes activités extrascolaires, j'ai commencé à prendre goût aux études. Je vous arrête là, aller en cours ne me réjouit pas, c'est simplement que j'ai su ce que je voulais faire dès le début et cela m'a encouragé à m'accrocher aux années les plus difficiles. Je ne suis pas une grande bosseuse, mais je savais qu’après mon bac, je pourrais me destinée aux animaux. Ces êtres qui me donne tant envie ! Oui, je sais, dis comme ça, j’ai l’impression d’être une petite fille, mais les animaux, c’est toute ma vie. Consciente que je ne serai jamais vétérinaire, j’ai opté tout autre chose, soigneuse. Mais, rebelle dans l’âme et aimant faire différemment, j’ai eu vent de cette île pleine de dinosaure.  A vrai dire, au délà de ce que je pouvais voir à la télé, mes parents m’ont appris que mon oncle y avait déménagé. Très poche de lui durant mon enfance, nous nous sommes éloigné lors de mon adolescence. J’ai été difficile et lui a finis par déménager. Les appels ne se passaient que lors des anniversaires et des noëls. Bien que je ne m’en sois pas rendu compte sur le coup, j’ai ensuite compris qu’une grande part de mon enfance était partie avec lui. Mais revenons à mes études… Peut-être qu’un jour, je prendrai mon courage à deux mains pour me relancer et gravir les échelons pour devenir vétérinaire.

Que dire de plus sur mes années d'étude. Et bien je pense que l'on peut faire rentrer en jeu le capital "amour". J'ai le don de m'attacher très rapidement aux gens. Fille ou garçon, amitié ou amour. Et malgré ma bonne humeur perpétuelle, je me fais souvent embobiner à cause de ma naïveté. Cela m'a valu de nombreuse histoire courte et beaucoup de larme. Mon premier amour est surement celui qui m'a fait le plus souffrir. Après cela, on ne s'attache plus de la même manière. Enfin passons, il y a d’autres choses plus importantes dans la vie. Suite à ça j'ai appris à me mettre des barrières et à me méfier. Seules mes sœurs sont au courant de tout. Ce sont d'ailleurs les seuls en qui j'ai une confiance infaillible. L’amitié est aussi quelque chose de sensible. Si l’on ne peut pas me reprocher de ne pas donner assez, on peut facilement me reprocher d’en attendre trop. Je donne sans compter, mais j’attends autant en retour, ce qui est rare.

J’ai récemment repris contact avec mon oncle. Mes études venant de se finir, j’ai cherché du boulot pendant un petit moment, voulant me faire un peu d’expérience avec toutes sortes d’animaux, de préférence les reptiles, avant de lui demander un énorme service. Je lui ai donc téléphoné à l’improviste, ne sachant pas comment il allait réagir. Je n’ai pas tourné autour du pot pendant longtemps, je lui ai dit ce que je recherchais. C’était quit’ ou double, mais dans tous les cas, je n’avais rien à perdre. Ne me faisant pas de réelles illusions, j’ai été très surprise qu’il accepte et transfert mon dossier au directeur. Quelques jours après, je recevais un coup de fil pour un entretien d’embauche. Une place venant de se libérer, je n’avais plus qu’à faire bonne impression pour rentrer dans le vif du sujet. J’ai donc fait mon sac et je suis partie pour rejoindre l’île. Le lendemain, je recevais une réponse positive, m’informant que je pouvais commencer la semaine qui suivait. J’ai fait mes valises et déménagé dans un petit appartement pour ne pas à avoir à enchaîner les allers-retours.  Sur place, j’ai découvert mon futur métier, me faisant rapidement une idée sur les différents dinosaures. L’attention particulièrement porté sur les T-rex, je me suis dirigé dans un endroit plus calme et plus grand. L’enclos des Diplodocus. Ces grosses bêtes herbivores que l’on oubliait. Elles étaient pourtant exceptionnelles et m’intriguait énormément. Un contact pouvait passer sans risquer de se faire tuer. Il m’arrive de tourner enter les enclos et entre les dinosaures et j’avoue que les T-Rex reste impressionnant, mais ils ne détrôneront jamais Diplodocus.